Gérard Guillaumat commence sa carrière avec Charles Dullin en 1947, avec qui il réapprend à parler. Il poursuit chez Jean Dasté puis chez Roger Planchon qu'il rejoint en 1962. Il se souvient avoir vu, lorsqu'il était en Angleterre, un comédien, Emelyn William's, conter en public des extraits des romans de Dickens, tout comme ce dernier avait pu le faire sur la fin de sa vie. Il en est bouleversé. « C'est ainsi, dit-il, que j'ai eu envie de faire mes propres expériences. Conter, c'est une façon directe de partager avec le public à travers un auteur notre histoire à tous ».

Réalisation Maurizio Giuliani

masquer

Gérard Guillaumat commence sa carrière avec Charles Dullin en 1947, avec qui il réapprend à parler. Il poursuit chez Jean Dasté puis chez Roger Planchon qu'il rejoint en 1962. Il se souvient avoir vu, lorsqu'il était en Angleterre, un comédien, Emelyn William's, conter en public des extraits des romans de Dickens, tout comme ce dernier avait pu le faire sur la fin de sa vie. Il en est bouleversé. « C'est ainsi, dit-il, que j'ai eu envie de faire mes propres expériences. Conter, c'est une façon directe de partager avec le public à travers un auteur notre histoire à tous ».

Réalisation Maurizio Giuliani

masquer

Gérard Guillaumat commence sa carrière avec Charles Dullin en 1947, avec qui il réapprend à parler. Il poursuit chez Jean Dasté puis chez Roger Planchon qu'il rejoint en 1962. Il se souvient avoir vu, lorsqu'il était en Angleterre, un comédien, Emelyn William's, conter en public des extraits des romans de Dickens, tout comme ce dernier avait pu le faire sur la fin de sa vie. Il en est bouleversé. « C'est ainsi, dit-il, que j'ai eu envie de faire mes propres expériences. Conter, c'est une façon directe de partager avec le public à travers un auteur notre histoire à tous ».

Réalisation Maurizio Giuliani

masquer

Déporté à 16 ans, le jeune homme n'arrivait plus à parler normalement. C'est le théâtre qui l'a fait renaître. Son histoire est ensuite bâtie sur des rencontres, et sur une passion toujours intacte : celle de la scène. Gérard Philippe lui donne d'abord le goût d'un certain théâtre. Il va se frotter ensuite à d'autres écoles, à Londres, à New York, puis rejoint Roger Planchon à Villeurbanne. Des rôles, des mises en scène, puis une révélation : reprendre la tradition des contes, raconter des histoires devant les spectateurs. Il leurs lit Dickens, Victor Hugo, Maupassant, Sartre. Et puis un jour il décide de raconter sa propre vie.

Réalisation Maurizio Giuliani
Production Maurizio Giuliani et Serge Villat

masquer

Déporté à 16 ans, le jeune homme n'arrivait plus à parler normalement. C'est le théâtre qui l'a fait renaître. Son histoire est ensuite bâtie sur des rencontres, et sur une passion toujours intacte : celle de la scène. Gérard Philippe lui donne d'abord le goût d'un certain théâtre. Il va se frotter ensuite à d'autres écoles, à Londres, à New York, puis rejoint Roger Planchon à Villeurbanne. Des rôles, des mises en scène, puis une révélation : reprendre la tradition des contes, raconter des histoires devant les spectateurs. Il leurs lit Dickens, Victor Hugo, Maupassant, Sartre. Et puis un jour il décide de raconter sa propre vie.

Réalisation Maurizio Giuliani
Production Maurizio Giuliani et Serge Villat

masquer

Réalisation :Maurizio Giuliani Nathalie Texier
Musique : Serge Schneider / Manitou Studio - Genève
Commentaire : écrit par Dominique Ludi dit par François Germond
Interviews : Guillaume Breton / Nathalie Texier
Caméras : André Corpataux / Maurizio Giuliani
Montage : Maurizio Giuliani
Production : Maurizio Giuliani / Nathalie Texier / Serge Villat

masquer

Band:
Silver Steff – lead vocals
Dirty Lyo – all guitars and backing vocals
Dirty Seb – bass and backing vocals
Silver Gregg – drums and backing vocals

masquer

Vassili est un personnage tiré d’une pièce en un acte de Tchekhov, Le chant du cygne. C’est un vieil acteur qui s’est endormi après la représentation. Quand il se réveille, tout le monde est parti, le théâtre est vide et toutes les portes sont fermées. C’est alors que les grands rôles qu’il a joués le rattrapent : il déclame d’an- ciens textes. Au lieu de choisir différents extraits de pièces, comme le propose Tchekhov, Roger dira des extraits des discours que Victor Hugo a prononcés devant l’Assemblée nationale en 1848. D’où le nom de Triboulet : c’est le bouffon de la pièce Le roi s’amuse de Victor Hugo, un bouffon bossu, critique et subversif. Nous avons imaginé que c’est dans le costume de Triboulet que Vassili s’est endormi.

masquer